A l'occasion de cette modeste exposition sur la mezzanine de la maison de la presse de Sarrebourg, j'ai accroché mes dernières créations.
2016 n'a pas été une année féconde.
Déjà que je ne peins pas beaucoup, mais là j'ai eu comme une grosse baisse d'inspiration, pas d'idées, pas d'envies, si ce n'est celle d'aller rouler à vélo.
Et en feuilletant mes bouquins, j'ai vu que Magritte avait assèché un certain nombre de thèmes...
Alors...
Du coup, j'ai regardé du coté de mes années 70 et j'ai repris le sujet de deux toiles:
"Les suffisances matamoresques appellent la finale crevaison grenouillère"
2016![](https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjgHzsV0h77d4eu3ph9v3acwuaiayMGIhxIjGvIRn_xziykd6OC_zPDHSr3buGCa-fE79CoH3IVHUyDWAKD9-2gWZ8JbzVNNMmSHIkr55jG2lsrWVuiCDWUxWU70c3EfGvzBnhysxXFjBxM/s400/les+suffisances.JPG)
1974![](https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgB4Qwp60FTilYUyZs7Hql5qSvjUT3PuzSVa7OHFS4Q46dbk8T4pvCTA8noTCd_GkHdKPxm8Le6MPhi64kaPjeZH9vvjPDYQ-yHXYIAVxt0vVnPLmKLN-3Khf9ejliVn7rR9dwwP0g3RKzf/s200/DSC08098.JPG)
J'ai aussi "revisité" un sujet qui avait défrayé la chronique à Mantes la Jolie en 1989, ou mon cher député ( et patron...) m'avait interdit de cimaises sous le prétexte que j'allais lui faire perdre les municipales...
Ce qui lui arriva au demeurant.
Il était au préalable monté à la tribune de l'assemblée pour défendre véhément le film de Scorcese , "La dernière tentation du Christ".
La liberté d'expression a (à) deux vitesses...
"Femme recadrée entre deux mondes"
2016![](https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhLANaovuxqfiuJWKtImlkpRYozSM_wF2qMIqPoeolpCcElrHRXEOKy2q9OowiqyTqlgFlCYmPHtpnwj5nPZb621rTAlyhlDsesABLBHsspS-fg_RudiFjYw6tMJA8a9YuAEkVWB_kzuLmB/s400/P1120081.JPG)
1974![](https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEid2ZqUEq7G0sHOLxNMdxIEhn0Av6KuWdoS1ZKEfTAOv2dx0bUpsao25-zEDEgDhpaK-mnP6tbrpsamWUXLKthJDUGMZcRjHo0FUCdD0YBp0dvecYgs6yrMtJCXQ6vFc0Lo0JORbJ2nDJ4-/s200/22.JPG)
Mais j'ai abordé la chose autrement...
J'ai passé une longue heure à une messe d'enterrement, l'église était ornée d'un chemin de croix très saint-sulpicien, en relief et en couleur , tout à fait édifiant et explicite pour celui qui ne saurait ni lire., ni écrire...
Il n'en fallait pas plus pour mettre en route mon cinémascope intèrieur... Comme quoi il ne faut pas grand chose pour remettre la machine en route !