Etudiant dans les années 66 à 71, puis théâtreux dans les salles parisiennes de 71 à 74, la Gare St Lazare était mon lieu de passage obligatoire pour rentrer à Aubergenville.
A l'inverse de beaucoup de banlieusards qui ont pris cette gare en grippe, moi j'y restais souvent à contempler l'entrelacs des ferrailles et des verrières; en attendant l'arrivée de ma petite amie ou en cherchant une solution les soirs de grève...
Ce sera toujours pour moi un lieu de rêverie, même si les modernisations constantes lui ont enlevé beaucoup de son charme...
- acrylique sur contreplqué 122 x 80 -